Coup d’essai et coup de maître pour le Relais 4 x 4 km de Païta
Le relais de Païta qui existait déjà dans les années 1990, lors de mes premières compétitions, se déroulait de Nouméa à Païta , sur la RT 1, avec un départ devant la GBNC (sponsor), une arrivée au cœur du village et au milieu un parcours assez difficile surtout pour les relayeurs passant le col de Tonghoué ou de Katiramona.
Compte tenu de l’augmentation du trafic routier et des accidents mortels en NC, l’AC Paita, club organisateur, fut dans l’obligation, il y a quelques années, de modifier son parcours en instaurant un départ et une arrivée au stade et un circuit identique de 5 km pour chaque relayeur.
Samedi dernier, le 21 novembre, une nouvelle formule de ce traditionnel relais, passant d’un 5 x 5 km à un 4 x 4 km a connu un vif succès avec 28 équipes classées.
L’ AC Païta s’octroie une belle victoire avec son équipe Jeunes qui s’impose en 58’43’’ devançant notre équipe Hommes ASPTT qui termine en 1h00’03’’. Olivier Jouan, Alain Bombanel, Arnaud Xolin et Benjamin Najda se sont « démenés comme de beaux diables » et n’ont fait que remonter tout au long de leur course. Les 2 coachs, Jean Berthet et Thierry Sébald, ne tenaient plus en place, prodiguant encouragements et conseils et devaient, sans nul doute, avoir une extinction de voix le lendemain.
Compte tenu de l’augmentation du trafic routier et des accidents mortels en NC, l’AC Paita, club organisateur, fut dans l’obligation, il y a quelques années, de modifier son parcours en instaurant un départ et une arrivée au stade et un circuit identique de 5 km pour chaque relayeur.
Samedi dernier, le 21 novembre, une nouvelle formule de ce traditionnel relais, passant d’un 5 x 5 km à un 4 x 4 km a connu un vif succès avec 28 équipes classées.
L’ AC Païta s’octroie une belle victoire avec son équipe Jeunes qui s’impose en 58’43’’ devançant notre équipe Hommes ASPTT qui termine en 1h00’03’’. Olivier Jouan, Alain Bombanel, Arnaud Xolin et Benjamin Najda se sont « démenés comme de beaux diables » et n’ont fait que remonter tout au long de leur course. Les 2 coachs, Jean Berthet et Thierry Sébald, ne tenaient plus en place, prodiguant encouragements et conseils et devaient, sans nul doute, avoir une extinction de voix le lendemain.